Du maçon de la Creuse à la bonne de Bretagne, protestants partant après l'édit de Nantes ou nobles fuyant la révolution, nos ancêtres s'en sont allés dans les grandes villes ou dansde lointaines contrées
Une enquête sur les objets qui entouraient la vie de nos ancêtres et qui montre les évolutions techniques et les changements sociaux, du lit à baldaquin à l'ordinateur. Et une explication sur l'origine de certains mots et expressions tels que "bug", "pendre la crémaillère", "entre la poire et le fromage".
Récit de la vie quotidienne des générations précédentes, réalisé grâce à des journaux intimes, archives, registres de notaires, etc. L'auteur fait revivre les principales étapes de la vie d'un homme, de la naissance à la mort, puis raconte comment l'année était scandée, des grandes fêtes religieuses aux commémorations civiles, ainsi que le déroulement d'une journée.
Ecrit a partir de centaines de temoignages spontanes, apportes par les descendants de poilus, ce livre montre tout l'impact de la Grande Guerre sur le destin des familles.
Maçons de la Creuse, ramoneurs savoyards, colporteurs dauphinois, bougnats aveyronnais, marchands de parapluies corréziens, instituteurs du Queyras, scieurs de long foréziens, taupiers de l'Orne, nourrices morvandelles, bonnes bretonnes. Tous autrefois s'en sont allés par les routes de France.
Comment c'était avant Facebook, Blablacar, la télé et la sécu, les colocs et le Bon Coin ? Alors que l'on dispose désormais d'un indicateur trimestriel du bonheur, on entend souvent dire que c'était mieux avant ...